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Open scroll tiara made of Platinum in millegrain, diamond in 1911 from Andre Falize.The tiara is outlined by an openwork border composed of collet set diamonds between narrow pointed ovals meeting at an elongated lozenge shape in the centre of the base and rising to an apex at the top in the kokoshnik style. In the curvelinear centre, there is alarge cushion sahped old-cut brilliant weighing approximatly 4carats, flanked by smaller circular cut stones and to each side an openwork and pave set design of arabeques each terminating in around a brilliant-cut diamond.Maison Falize was founded in 1838 by Alexis Falize (1811-1898). His son Lucien Falize (1838-1897) joined his father in 1871 under the name “Falize Père et Fils”. His father Alexis retired in 1876. In 1880, Lucien Falize joined forces with Germain Bapst, descendant of the jewelers of the Crown of France since 1725, to found the company "Bapst & Falize". Aware of having little talent for business, Germain Bapst retired in 1892.
When their father Lucien Falize died in 1897, his three sons succeeded him under the name “Falize Frères”. André Falize (1872-1936), the eldest, after having studied at HEC, completed his apprenticeship with the master goldsmith Bossard in Lucerne, an undisputed specialist in Renaissance-style goldsmithing. With a very strong personality, André Falize displays unparalleled pride. He takes charge of the workshop. Jean Falize (1874-1943), a student of Edme Couty for decorative composition, worked for a time in industrial chemistry and research into new alloys at the Comptoir de Matériaux Precious Lyon-Alemand. He deals with jewelry. Pierre Falize, (1875-1953), first devoted himself to painting. A student at the École des Beaux-Arts, his teachers were Jules Lefebvre and O. Merson; having developed a passion for enamel, he studied it with Grandhomme and has since enameled the pieces he creates himself.
The three brothers devoted themselves entirely to goldsmithing and jewelry. Uniting their special skills and surrounding themselves, as their father had done, with chosen collaborators, they showed by the two great prizes they obtained at the Exhibition of 1900, that the Falize house is in good hands. The Falizes played an important role in the development of Art Nouveau in jewelry and goldsmithing, working in particular with Emile Gallé. They benefit from a prestigious clientele such as the Bonaparte family, Queen Victoria, the Russian imperial family, Queen Marie of Romania, King Fouad of Egypt, Alphonse XIII of Spain, Peter 1st of Serbia. The scroll tiara in 1911 - made by Andre Falize. In 1919, Pierre left the company to find better paying work. His brother André is furious. André was president of the Society for the Protection of Animals, created the Horse Protection League and was resolutely committed against bullfighting and hunting. He spends a lot (too much) money on animal protection. He married late in 1920 and wrote the priest's sermon himself. Among the guests we can cite three marshals: Foch, Lyautey and Pétain. But from 1925, the Falize house experienced serious financial troubles caused, among other things, by André's commitments to the animal cause. When André Falize died in 1936, the Falize house did not survive him.
L'HOMMAGE DES FRANÇAISES A LA PRINCESSE CLÉMENTINE -
LA TABLE COIFFEUSE EXÉCUTÉE PAR FALIZE ET OFFERTE PAR LES FRANÇAISES A LA PRINCESSE CLÉMENTINE-
C'est un meuble du plus pur style Empire; chaque détail en est emprunté d'un souvenir napoléonien célèbre : il a été exécuté par MM. Falize et représente l'hommage des Françaises à la petite-fille du roi Louis-Philippe.
En revue les derniers événements mondains de l'année 1908. Les visites royales ont pris fin par celle du roi Gustave de Suède et de la gracieuse reine, née princesse Victoria de Bade. Paris a retenti encore une fois, pendant trois jours, des cris de : Vive le Roi ! Vive la Reine! Le Président de la République qui leur fit les honneurs de la France, dont ils étaient les hôtes, leur offrit à leur départ, en souvenir de leur séjour à Paris, le portrait de Bernadotte en émail et or et deux vases d'orfèvrerie. Ces superbes cadeaux sont des chefs-d'oeuvre de Falize.
.... dernières années. Rappelons seulement : les marteau er, d'or et d'ivoire du Pont Alexandre III et la truelle d’or. Le grand surtout du couronnement de M Nicolas . La Paix H de Paris a S.armée offerte M Nicolas II L’épée qu’Émile Loubet tombe d’Alexandre III La palme et la couronne que la Répuibique française offrit à la mémoire des rois L Victor-Emmanuel II et Humbert 1 ™ L an passé, les Falize exécutaient la Ia couronne royale du roi Pierre 1 de Serbie x . et toutes les orfèvreries du sacre. Ils viennent de ciseler le sabre d’on neuro que les Français offrent en hommage L de sympathie et d’admiration a Stressel, le défenseur malheureux de Port-Arthur. H y a quelques jours à peine, ils orfèvraient le livre d’or qui fut remis à 41 S. FA. le Roi d’Espagne. L Imbus des probes traditions de leur i maison, qui depuis bientôt deux siècles L s’efforce de faire rendre a l’art si délicat de l’orfèvrerie toute son utilité, et c’est la le i secret de leur maîtrise toute sa grâce, les frères Falize réunissent dans leurs galeries r ce que l’argent, le vermeil et l’or produisent 1 de plus prestigieux. Non contents d’être orfèvres, ils ont I voulu, comme leurs devanciers des belles I époques, — les bons artisans du xv et du M xvi*‘ siècle, antre joailliers et bijoutiers a I la fois, et ils ont su se conquérir l’estime k des amateurs et la reconnaissance des femmes. Poètes du bijou, ils n’élisent pour I orner leurs joyaux que les pierres les plus impeccables, — les saphirs d’un bleu si profond et si pur qu'ils portent en eux un il petit coin du ciel, — les rubis rutilants et m pourpres, —les diamants qui montrent leur €au diaphane, — les merveilleuses merlu des, — les opales irisées d’arc-en-ciel, et les perles divines, — riches des splendeurs de Orient et de la mer enchanteresse. 1725 héritiers du titre la Couronne de France, ires « l’affaire du Collier », rentre. tant qu’il y eut une nue, jusqu’à la fin du régné Depuis le second Empire, la maison ze a continue d’être intimement 1 iee au mets marquants de notre temps. Chacun se souvient du rameau d'or que x Faure emporta à bord du Polkuau |ui fut le « rameau de l’Alliance », s au Tsar Nicolas 11 par le President La liste serait longue des oeuvres tirs d’orfèvrerie exécutées par les Faliz: poupes ou ces drageoir es, ces surtouts de tab irise ciselés pour le nos grandes boites d encourageit ; — ces vases montés, verres de Galle eûtes de verre, — tel ce charmant poème l’Oubli d'automne, où de mignonnes1 leurres se coulent parmi les feuilles bées, dans le fend du parc perdu, plein silence, pour faire une coupe d’Escu, rajeunie et charmante, dans son coderic de bon aloi — ce sont des « Falize » Continuateurs des Bapst, les Falize
Les vases de Galle montes de si préuse façon que la Ville de Paris offrit à I opératrice. La couronne déposée par S. M. Nicoll sur la tombe du président Carnot au panthéon, la couronne d’or du centenaire du ululai, déposée dans ! 1 chambre où jouit Napoléon I à Ajaccio. La palc offerte par S. M Nicolas II a la ouille mortelle l’amiral Roustan. Muls dans cet esprit n’ont fait davantage ntage que les frères Falizé. Orfèvres et joailliers, élèves du ! grand artiste regretté que fut leur 1 père Lucien "Falize, ils ont su don-fier aux œuvres sorties de leur mai son tant de grâce et tant de stèle B lue eur non seul évoque l'idée d’art I et de beauté accomplie on dit un Falize » comme on dit « un meuble BouleL un vernis martin ». TE MOS JOUTAS, où l'engouement pour l'art moderne a conduit tant d’artisans dépourvus de mesure I à de déplorables déformations, ii I faut lottr les artistes vrais, délai- k gueux des vils artifices, qui ne abere JJ chenet point a flatter le vulgaire, mai s’efforcent orcent de conserver à l'art france U bais ces qualités de finesse et de race distinguent le goût et les œuvres de notre
Sources: La Vie heureuse, 15 juin 1905, Mellerio dits Meller Collection Paris.
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